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  • leclosiondesfleurs

Dans le journal.

Cette hiver avec mes collègues nous avons étaient interviewées par le journal "L'est Républicain".

L'article est bref mais je vous le partage. Il résume bien ce qu'est un accompagnement et il donne de la visibilité au métier de doula.



Si toutes les doulas ont une vision personnelle de l’accompagnement autour de la maternité, il est un point commun essentiel, aucune ne traite des problèmes médicaux. 

Tifani Schwaller et Amélie Dumont, sont doulas; Dorine Arnaud est en formation pour le devenir. Elles apportent un soutien psychologique et pratique, aux femmes enceinte en particulier et au couple en attente d’un bébé. Même si dans les faits, elles touchent plus souvent la femme enceinte que le couple.

Un tsunami émotionnel: 

Vivre  une maternité, c’est être traversé, 9 mois durant, par un train  d’émotions aussi surprenantes qu’intenses. Et dire que cela est on ne  peut plus naturel, ne change rien à ce tsunami qui va des rires aux  larmes, de la toute-puissance aux peurs XXL.
«Les sages-femmes n’ont ni le temps, ni la formation pour répondre à de  nombreux questionnements intimes. Les femmes enceintes même n’osent pas  toujours prendre du temps pour elle à cette période. Les entretiens  qu’elles ont avec nous sont souvent les seuls moments qu’elles  s’accordent.»

Vivre pleinement sa grossesse:

À son rôle d’information, sur les différentes façons d’accoucher,  jusqu’au décryptage des soubresauts intimes, la doula répond aux  questions, sans l’affect que peut y mettre une mère, une sœur, une amie.  «Nous invitons la femme à être actrice de sa maternité à partir de ce  qu’elle pense juste pour elle.»
Les rencontres sont riches, qui parlent du corps, de sexualité, de  parentalité, d’éducation bienveillante, portage de l’enfant, allaitement, partage de la charge mentale… En offrant à la femme des outils de connaissance de soi, livres, massages, méditation, alimentation… elles lui permettent de faire des choix éclairés. Et souvent d’affirmer sa condition au-delà des clichés.

Après la naissance:

Ainsi dans le monde du travail, «où être enceinte n’est pas une maladie»,  cela peut permettre d’imposer malgré tout quelques ajustements. Puis  vient, ce qui peut-être un second tsunami, la période post-partum, avec  son lot de surprises qui, de fatigue en culpabilités diverses, peuvent  entraîner une dépression. Pourtant, les doulas l’affirment : «La mère  sait faire si elle s’écoute.»

Après un premier rendez-vous gratuit, les tarifs varient en fonction des  propositions, parce que la condition première pour bénéficier de cet  accompagnement, c’est la qualité du lien établi entre la doula et la  future maman. Celui-là n’a pas de prix.


Je vous partage les sites internet des autres doula de Besançon.









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